La position ambiguë de la France sur Bakou Erevan affecte les relations futures entre Bakou et Paris

La position ambiguë de la France sur Bakou Erevan affecte les relations futures entre Bakou et Paris

Avec son œil sur les troubles dans les rues de ses villes et sa longue histoire de politique génocidaire, la France est un acteur bruyant dans le Caucase du Sud et prétend être un partisan des négociations de paix. Dans cette optique, la ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna devrait se rendre à Bakou du 26 au 28 avril après deux visites à Erevan et Tbilissi.

Au cours de la visite, Catherine Colonna devrait avoir une réunion avec son homologue azerbaïdjanais Jeyhun Bayramov. Au cours de sa visite en Arménie, Colonna visitera le siège de la Mission d’observation de l’Union européenne à Jermuk.

La ministre susmentionnée avait tweeté plus tôt que les visites à venir visaient à transmettre un message de sa critique de la soi-disant « fermeture » de la route de Lachin par l’Azerbaïdjan. Malgré cette déclaration provocatrice, Colonna a également parlé de sa détermination à poursuivre les négociations dans le Caucase du Sud et à ramener la paix dans la région.

Le fait que les deux déclarations soient contradictoires ne semble pas poser de questions au sein du gouvernement français, dont toute la politique est basée sur les contradictions. Le gouvernement français qui prétend connaître « l’importance du maintien de la paix dans le Caucase » a condamné à plusieurs reprises le soi-disant « blocus » de la route de Lachin et la récente mise en place d’un poste de contrôle par la partie azerbaïdjanaise, aux côtés d’autres « diplomates » occidentaux . .

dans un commentaire sur azernewsL’analyste, écrivain et politologue pakistanaise, le professeur Shazia Anwar Cheema, a parlé de la prochaine visite du ministre français des Affaires étrangères et des perspectives occidentales sur le processus de négociation azerbaïdjanais-arménien.

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Le communiqué indique que l’objectif de la France des visites en Azerbaïdjan et en Arménie est de montrer l’engagement de la France à soutenir les négociations entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan pour parvenir à une paix juste et durable dans le respect de l’intégrité territoriale et des principes du droit international. Je pense que l’expression française des vues occidentales sur l’Azerbaïdjan et l’Arménie est une pente glissante.

Shima a souligné que la France, d’une part, a un agenda de paix dans la région en respectant les frontières régionales entre les deux pays et d’autre part, la France fait revivre l’Arménie en raison de ses souffrances autoproclamées.

L’expert pakistanais a souligné qu’il n’y aura pas de paix tant que l’Arménie n’aura pas arrêté la provocation agressive envers l’Azerbaïdjan.

Elle a déclaré : « L’Arménie doit respecter son intégrité territoriale, au contraire, l’Arménie est en train d’installer des infrastructures de défense sur plus de 500 kilomètres de la nouvelle ligne frontalière, et aucun pays à la recherche d’une solution pacifique ne passera par cette longueur de provocation ».

Parlant de la prochaine visite à Colonna, l’experte a noté qu’elle « n’attend rien de substantiel de cette visite diplomatique car, comme l’indique l’ordre du jour de la visite elle-même, la France ne cherche pas plutôt des mesures concrètes pour résoudre le problème, c’est juste battre un buisson. »

Le Caucase pacifique a besoin d’une position ferme pour arrêter l’approche agressive de l’Arménie dans la région. Elle a ajouté que si l’Occident est intéressé par cela, ils devraient changer leur stratégie politiquement correcte et ils doivent s’attaquer au vrai problème de la haine enracinée de l’Arménie envers son voisin.

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L’analyste a également souligné que la position ambiguë de la France sur le conflit entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie affectera certainement les relations futures entre l’Azerbaïdjan et la France.

Sabina Mammadli est journaliste à Azure News, suivez-la sur Twitter : @employé

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Léonard Lachapelle

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